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Innovation dans le secteur des flottes automobiles d’entreprises avec la startup Mon Courtier Auto (start-up récemment accompagnée par le Village) dont le cofondateur, Maxence Dert, est le nouvel invité des Podcasts du Village by CA PCA.

Vous retrouverez dans ce podcast (disponible sur le compte Anchor du Village), son parcours et ses expériences, ses perspectives d’évolution, l’unicité de Mon Courtier Auto

Maxence, peux-tu nous dire ce qui t’as amené à être entrepreneur ?

Je voulais être entrepreneur avant mes quarante ans : c’était un de mes objectifs. Néanmoins, je ne m’étais pas forcément dit que ce serait dans l’automobile.

A savoir que j’ai travaillé 15 ans dans la vente automobile spécialisée dans le domaine du B2B (Business to Business), notamment pour le groupe PSA chez Citroën puis pour le groupe Lombardo (Mercedes).

J’ai par la suite décidé de créer ma propre structure, en voyant l’évolution du marché et particulièrement l’uberisation de l’activité : l’idée a germé dans ma tête et j’ai fini par créer Mon Courtier Auto.

Peux-tu nous en dire un peu plus sur Mon Courtier Auto : date de création, son but, sa proposition de valeur …?

Mon Courtier Auto existe depuis quatre ans maintenant. La proposition de valeur, le  » pourquoi on existe « , c’est qu’on est l’interlocuteur unique, multimarques (nos clients peuvent nous appeler pour du Peugeot, Renault, Citroën etc…) et également proposons du multi-financement (crédit bail, location, achat). 

Nous pourrions dire que nous sommes les acheteurs externalisés des PME/PMI avec la volonté systématique de leur proposer les meilleurs produits et les offres les plus travaillées du marché.

Explique-nous comment fonctionne ton modèle financier et ton business model. Comment te rémunères-tu ? 

« Très bonne question ! Nos propres clients nous la posent aussi. Ils pensent très souvent  » est-ce que je vais voir un courtier ? C’est payant et il va me demander de l’argent pour les propositions qu’il va me présenter etc… » ou « il y a un intermédiaire supplémentaire donc je préfère discuter directement avec la marque ».

Mon business model est très simple : je ne suis pas payé par mes clients mais par mes fournisseurs pour lesquels je suis en apport d’affaires. Mes fournisseurs peuvent être séparés en deux catégories : les fournisseurs garages (nous travaillons avec 120 garages en France) et les représentants financiers/loueurs.

On a donc plusieurs mode de rémunération. Le mode de rémunération via les garages et les loueurs c’est de l’argent pris sur leur marge (qu’ils diminuent) et non pas sur les remises faites aux clients.

Ensuite nous avons une représentation nationale car Mon Courtier Auto est une franchise, nous avons déjà 8 affiliés en France : 3 à Paris, 2 dans la région PACA, à Montpellier, à Nantes. Notre volonté est bien évidemment d’augmenter ce rayonnement national grâce aux affiliés qui sont toujours indépendants et qui bénéficient des mêmes outils que la maison mère et fonctionnent de la même manière. »

Il y a donc un vrai apport de méthode, d’outils et de réseaux qui va être partager avec ces futurs affiliés ? L’idée dans le futur est sûrement d’avoir des affiliés partout en France pour pouvoir mapper tous les territoires.

Exactement ! Si il y a des vendeurs qui nous écoutent et qui veulent rejoindre Mon Courtier Auto, l’objectif est là !

Cela fait quatre ans que l’on travaille pour obtenir les accès loueurs qui sont très difficiles à avoir car ils demandes beaucoup de volumétrie et aujourd’hui nous avons des outils déportés de cotation loueurs qui sont mis à disposition de nos affiliés. Nous avons aussi un dynamisme de création d’outils de gestion de notre activité quotidienne : un CRM spécifique à notre activité.

Ce qui nous permet d’avoir une activité sereine […].

Pour en savoir plus sur Maxence et sa start-up, cliquez ici !